De Gaulle et la révolution tranquille : vive le Québec libre! /
"Charles de Gaulle entretient des relations avec les Canadiens français depuis 1940 et, durant sa présidence, il s'intéresse à la Révolution tranquille qui métamorphose le Québec. Le 24 juillet 1967, à Montréal, il ébahit le monde entier en lançant quatre mots - Vive le Québec...
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Format: | Book |
Language: | French |
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Orléans :
Regain de lecture,
[2018?]
Orléans : [2018] Orléans [France] : [2018] Orléans : [2018?] |
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Table of Contents:
- 15 juillet 1967
- Nuit du 22 au 23 juillet 1967
- Dimanche 23 juillet 1967
- Lundi 24 juillet 1967
- Mardi 25 juillet 1967
- Le Chemin du Roy
- Avant-propos
- De Gaulle et moi
- La révolution tranquille
- Une révolution étatique
- Une révolution économique
- Une révolution linguistique
- Une révolution politique
- Une révolution sanglante
- Une révolution au niveau international
- Une révolution des relations du travail
- Propos et confidences du général de Gaulle
- 1er août 1940. Canadiens français, l'âme de la France appelle votre secours
- 12 juillet 1944. À Québec, de Gaulle submergé par une vague de fierté française
- 19 avril 1960. "La première voix que j'entends, c'est celle de l'Histoire"
- 20 avril 1960. "Il est essentiel que la pensée française s'épanouisse dans le monde"
- 20 avril 1960. "Vous avez ajouté à notre chose à tous, la chose française"
- 21 avril 1960. "Canadiens français, vous pouvez compter sur la France"
- Septembre 1960. Malraux "il faut s'occuper du Québec"
- 5 octobre 1961. Pas seulement des sentiments, mais faire des choses ensemble
- 24 avril 1963. "Un jour ou l'autre, le Québec sera libre"
- 7 mai 1963 "Je crois bien qu'il y aura une République française du Canada"
- 29 mai 1963 "Il faut qu'il nous abreuve en informations sur le Canada français"
- 4 septembre 1963. "Le Canada français deviendra nécessairement un État"
- 12 octobre 1963. Dites-leur ceci : "Montréal, deuxième ville de France"
- 23 octobre 1963. "Je ne sais pas si c'est dans dix, vingt ou trente ans"
- 22 janvier 1964. "Le Canada sera confédéral"
- 3 mars 1965. Le Québec signe son premier accord avec un autre État 94 3 mars 1965. "Il n'y a que les Québécois qui puissent s'émanciper et rester français"
- Avril 1965. "Que vais-je pouvoir faire pour les conforter ?"
- 29 septembre 1965. "L'avenir du Canada français, c'est l'indépendance"
- 10 novembre 1965. "Il faut faire la jonction avec les Québécois la Wallonie n'est pas le Québec"
- Novembre 1966. "Si j'y vais, ça risque d'être seulement pour mettre le feu"
- 9 décembre 1966. "Pas question que je félicite le Canada pour son "centenaire""
- 29 mars 1967. "Je n'irai pas au Québec pour faire du tourisme"
- 18 mai 1967. "Des drapeaux du Québec partout !"
- 20 mai 1967. "Je suis prêt à vous donner un coup de main qui vous servira pour l'avenir"
- 9 juillet 1967. "Je compte frapper un grand coup. Ça bardera. Mais il le faut. C'est la dernière occasion de réparer la lâcheté de la France"
- 15 juillet 1967. "On va m'entendre là-bas, ça va faire des vagues"
- 19 juillet 1967. "Que diriez-vous si je criais : Vive le Québec libre ?"
- 20 juillet 1967. "D'ici peu le Québec aura acquis de l'autonomie"
- 23 juillet 1967. OEuvre française, affections, souvenir, espérance
- 23 juillet 1967. "La France vous aime !"
- 23 juillet 1967. On assiste ici à l'avènement d'un peuple qui veut disposer de lui-même
- 24 juillet 1967. Pour le bien du Canada, le Québec doit disposer de lui-même 24 juillet 1967. Pourquoi ne pas faire un office pour la jeunesse 24 juillet 1967. La France vous doit quelque chose
- 24 juillet 1967. "Et ça, monsieur le maire, ce n'est pas un micro ?
- 15 juillet 1967
- Nuit du 22 au 23 juillet 1967
- Dimanche 23 juillet 1967
- Lundi 24 juillet 1967
- Mardi 25 juillet 1967
- Le Chemin du Roy
- Avant-propos
- De Gaulle et moi
- La révolution tranquille
- Une révolution étatique
- Une révolution économique
- Une révolution linguistique
- Une révolution politique
- Une révolution sanglante
- Une révolution au niveau international
- Une révolution des relations du travail
- Propos et confidences du général de Gaulle
- 1er août 1940. Canadiens français, l'âme de la France appelle votre secours
- 12 juillet 1944. À Québec, de Gaulle submergé par une vague de fierté française
- 19 avril 1960. "La première voix que j'entends, c'est celle de l'Histoire"
- 20 avril 1960. "Il est essentiel que la pensée française s'épanouisse dans le monde"
- 20 avril 1960. "Vous avez ajouté à notre chose à tous, la chose française"
- 21 avril 1960. "Canadiens français, vous pouvez compter sur la France"
- Septembre 1960. Malraux "il faut s'occuper du Québec"
- 5 octobre 1961. Pas seulement des sentiments, mais faire des choses ensemble
- 24 avril 1963. "Un jour ou l'autre, le Québec sera libre"
- 7 mai 1963 "Je crois bien qu'il y aura une République française du Canada"
- 29 mai 1963 "Il faut qu'il nous abreuve en informations sur le Canada français"
- 4 septembre 1963. "Le Canada français deviendra nécessairement un État"
- 12 octobre 1963. Dites-leur ceci : "Montréal, deuxième ville de France"
- 23 octobre 1963. "Je ne sais pas si c'est dans dix, vingt ou trente ans"
- 22 janvier 1964. "Le Canada sera confédéral"
- 3 mars 1965. Le Québec signe son premier accord avec un autre État 94 3 mars 1965. "Il n'y a que les Québécois qui puissent s'émanciper et rester français"
- Avril 1965. "Que vais-je pouvoir faire pour les conforter ?"
- 29 septembre 1965. "L'avenir du Canada français, c'est l'indépendance"
- 10 novembre 1965. "Il faut faire la jonction avec les Québécois la Wallonie n'est pas le Québec"
- Novembre 1966. "Si j'y vais, ça risque d'être seulement pour mettre le feu"
- 9 décembre 1966. "Pas question que je félicite le Canada pour son "centenaire""
- 29 mars 1967. "Je n'irai pas au Québec pour faire du tourisme"
- 18 mai 1967. "Des drapeaux du Québec partout !"
- 20 mai 1967. "Je suis prêt à vous donner un coup de main qui vous servira pour l'avenir"
- 9 juillet 1967. "Je compte frapper un grand coup. Ça bardera. Mais il le faut. C'est la dernière occasion de réparer la lâcheté de la France"
- 15 juillet 1967. "On va m'entendre là-bas, ça va faire des vagues"
- 19 juillet 1967. "Que diriez-vous si je criais : Vive le Québec libre ?"
- 20 juillet 1967. "D'ici peu le Québec aura acquis de l'autonomie"
- 23 juillet 1967. OEuvre française, affections, souvenir, espérance
- 23 juillet 1967. "La France vous aime !"
- 23 juillet 1967. On assiste ici à l'avènement d'un peuple qui veut disposer de lui-même
- 24 juillet 1967. Pour le bien du Canada, le Québec doit disposer de lui-même 24 juillet 1967. Pourquoi ne pas faire un office pour la jeunesse 24 juillet 1967. La France vous doit quelque chose
- 24 juillet 1967. "Et ça, monsieur le maire, ce n'est pas un micro ?
- 24 juillet 1967. "Vive le Québec ! Vive le Québec LIBRE!"
- 25 juillet 1967. Peut-être s'est-il passé quelque chose ?
- 25 juillet 1967. Québécois : la suite vous appartient
- 26 juillet 1967. L'enjeu pour les Français et les Québécois : le progrès ou le déclin
- 26 juillet 1967. Ensemble, nous avons été au fond des choses
- 27 juillet 1967. Ma gratitude à la population pour son inoubliable accueil
- 27 juillet 1967. De Gaulle étonné par l'hostilité de la presse française
- 27 juillet 1967. Le devoir de De Gaulle c'était de prononcer cette phrase
- 27 juillet 1967. Non aux acrobaties diplomatiques
- 27 juillet 1967. Il fallait que les Français s'éveillent à la question québécoise
- 27 juillet 1967. Ce que de Gaulle voulait dire au Canada anglais
- 29 juillet 1967. "Ce n'est pas moi qui ai incité les Québécois à faire la Révolution tranquille"
- 31 juillet 1967. "Je n'ai pas dit : Révoltez-vous"
- 31 juillet 1967. Pour la France, le Canada-Québec n'est pas un pays comme un autre
- Août 1967. Qui d'autre, après moi, aurait pu se permettre de dire cela ?
- 23 août 1967. Le Québec est un cas unique
- 1er septembre 1967. "Il faut ouvrir au Québec des fenêtres sur le monde"
- 1er septembre 1967. Notre consul général à Québec doit devenir indépendant
- 1er septembre 1967. Un Québec-Canada confédéral
- 8 septembre 1967. Lettre manuscrite du général à Johnson : c'est le moment d'accentuer ce qui est déjà entrepris I 8 septembre 1967. Mission secrète : des visites alternées au plus haut niveau
- Septembre 1967. La balance : de Gaulle choisit le destin d'un peuple
- 27 novembre 1967. Il faut un changement complet de la structure canadienne
- 27 décembre 1967. Il faut aider le Québec à participer à Libreville
- Février 1968. Nous reconnaîtrions le Québec comme État souverain
- 10 avril 1968. M. Trudeau est l'adversaire de la chose française
- 30 mai 1968. Je ne me retirerai pas
- 14 décembre 1968. Un nouveau Canada formé de deux peuples égaux
- 22 janvier 1969. "Nous voilà solidaires dans tous les domaines"
- 14 février 1969. Un État du Québec dans une union canadienne
- 28 avril 1969. Je cesse d'exercer mes fonctions
- 10 novembre 1970. Je ne veux pas d'obsèques nationales
- L'héritage du général de Gaulle
- L'héritage linguistique
- L'héritage jeunesse
- L'héritage éducatif et technique
- L'héritage culturel et artistique
- L'héritage politique et constitutionnel
- Les innovations et l'héritage scientifiques
- L'héritage économique et financier
- L'héritage international
- L'héritage professionnel : la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles
- L'héritage touristique : le sociologique qui rejoint l'économique
- 24 juillet 1967. "Vive le Québec ! Vive le Québec LIBRE!"
- 25 juillet 1967. Peut-être s'est-il passé quelque chose ?
- 25 juillet 1967. Québécois : la suite vous appartient
- 26 juillet 1967. L'enjeu pour les Français et les Québécois : le progrès ou le déclin
- 26 juillet 1967. Ensemble, nous avons été au fond des choses
- 27 juillet 1967. Ma gratitude à la population pour son inoubliable accueil
- 27 juillet 1967. De Gaulle étonné par l'hostilité de la presse française
- 27 juillet 1967. Le devoir de De Gaulle c'était de prononcer cette phrase
- 27 juillet 1967. Non aux acrobaties diplomatiques
- 27 juillet 1967. Il fallait que les Français s'éveillent à la question québécoise
- 27 juillet 1967. Ce que de Gaulle voulait dire au Canada anglais
- 29 juillet 1967. "Ce n'est pas moi qui ai incité les Québécois à faire la Révolution tranquille"
- 31 juillet 1967. "Je n'ai pas dit : Révoltez-vous"
- 31 juillet 1967. Pour la France, le Canada-Québec n'est pas un pays comme un autre
- Août 1967. Qui d'autre, après moi, aurait pu se permettre de dire cela ?
- 23 août 1967. Le Québec est un cas unique
- 1er septembre 1967. "Il faut ouvrir au Québec des fenêtres sur le monde"
- 1er septembre 1967. Notre consul général à Québec doit devenir indépendant
- 1er septembre 1967. Un Québec-Canada confédéral
- 8 septembre 1967. Lettre manuscrite du général à Johnson : c'est le moment d'accentuer ce qui est déjà entrepris I 8 septembre 1967. Mission secrète : des visites alternées au plus haut niveau
- Septembre 1967. La balance : de Gaulle choisit le destin d'un peuple
- 27 novembre 1967. Il faut un changement complet de la structure canadienne
- 27 décembre 1967. Il faut aider le Québec à participer à Libreville
- Février 1968. Nous reconnaîtrions le Québec comme État souverain
- 10 avril 1968. M. Trudeau est l'adversaire de la chose française
- 30 mai 1968. Je ne me retirerai pas
- 14 décembre 1968. Un nouveau Canada formé de deux peuples égaux
- 22 janvier 1969. "Nous voilà solidaires dans tous les domaines"
- 14 février 1969. Un État du Québec dans une union canadienne
- 28 avril 1969. Je cesse d'exercer mes fonctions
- 10 novembre 1970. Je ne veux pas d'obsèques nationales
- L'héritage du général de Gaulle
- L'héritage linguistique
- L'héritage jeunesse
- L'héritage éducatif et technique
- L'héritage culturel et artistique
- L'héritage politique et constitutionnel
- Les innovations et l'héritage scientifiques
- L'héritage économique et financier
- L'héritage international
- L'héritage professionnel : la reconnaissance mutuelle des qualifications professionnelles
- L'héritage touristique : le sociologique qui rejoint l'économique